La vague
La vague Films, Drame
Âge : +16

Synopsis

Dans le cadre d’un atelier, un professeur de lycée propose à ses élèves une expérience visant à leur expliquer le fonctionnement d’un régime totalitaire. Commence alors un jeu de rôle grandeur nature dont les conséquences vont s’avérer tragique.

Un professeur de lycée allemand, Rainer Wenger, face à la conviction de ses élèves qu’un régime autocratique ne pourrait plus voir le jour en Allemagne, décide de mettre en place une expérience d’une semaine dans le cadre d’un atelier. En reprenant chacun des attributs qui représentent une autocratie et plus précisément une dictature, on observe alors la mise en place d’une sorte de jeu de rôle grandeur nature. Construite comme une communauté, « la Vague », rassemblée autour d’un symbole, un salut, un uniforme et des règles s’étend rapidement à l’extérieur de l’école. En quelques jours, ce qui n’était que de simples notions telles que l’esprit communautaire et la discipline se transforment en un réel parti politique. Les élèves, alors motivés par leurs valeurs, vont s’investir beaucoup trop, et de manière extrême. Dès le troisième jour, les membres du mouvement commencent à exclure puis à persécuter tous ceux qui ne se rallient pas à leur cause. Ce qui n’était initialement qu’un jeu de rôle va échapper au contrôle de Rainer Wenger. Lors d’un match de water-polo, une dispute éclate et dégénère en conflit entre les membres de « la Vague » et les « non-membres ». C’est à la suite de cet événement que Rainer Wenger décide de mettre fin à l’expérience, mais « la Vague » est déjà incontrôlable.

Plus d'informations
De Dennis GanselAvec Aziliz Bourges, Corinne Ar Mero, Dom Duff, Erell Beloni, Goulwena An Henaff, Gweltaz Ar Vuhe, Gwion Morrys, Jil Penneg, Klet Beyer, Kristof Ar Menn, Marion Gwenn, Nolwenn Korbell, Riwal Kermarreg, Tangi Daniel, Thomas Cloarec, Tony Foricheur, Yann-Edern Jourdan, Yann-Herle Gourves
Traduction / adaptation : Corinne Ar Mero
Détection : Sophie Gillet
Commandes : Laors Skavenneg
Enregistrement : Jean Mari Ollivier